[80ème anniversaire de la libération]
Né le 18 août 1897, Fernand Petit était huissier dans la région de Bonneval.
Dès 1940, il prend des initiatives afin de constituer un groupe de résistance actif dans la région. Il prend contact avec diverses organisations clandestines, notamment le Front National d'obédience communiste et rejoint les Francs-Tireurs et Partisans (FTP) de la région.
A Bonneval, son groupe de résistance est l'un des premiers à mener des activités clandestines. Son groupe est également lié à Libération Nord qui opère dans la même région.
Dès juin 1940, Fernand sabote un camion allemand et la moto d'un soldat allemand.
Fernand participe activement à la récupération d'armes parachutées en septembre 1943 à Logron et organise des sabotages contre les infrastructures par l'armée allemande.
Cependant, le 22 décembre 1943, il est arrêté par les forces allemandes et est soumis à des actes de tortures dans le but d'obtenir des informations. Malgré cela, il résiste, les allemands décident alors de le transférer au camp de concentration de Mauthausen.
Malheureusement, Fernand Petit décède le 20 avril 1945, seulement huit jours avant la libération du camp par les forces américaines.
Son courage et sa résistance face à l'oppression nazie restent un exemple de détermination pour la mémoire de la résistance française.
Source : CEDREL
Né le 18 août 1897, Fernand Petit était huissier dans la région de Bonneval.
Dès 1940, il prend des initiatives afin de constituer un groupe de résistance actif dans la région. Il prend contact avec diverses organisations clandestines, notamment le Front National d'obédience communiste et rejoint les Francs-Tireurs et Partisans (FTP) de la région.
A Bonneval, son groupe de résistance est l'un des premiers à mener des activités clandestines. Son groupe est également lié à Libération Nord qui opère dans la même région.
Dès juin 1940, Fernand sabote un camion allemand et la moto d'un soldat allemand.
Fernand participe activement à la récupération d'armes parachutées en septembre 1943 à Logron et organise des sabotages contre les infrastructures par l'armée allemande.
Cependant, le 22 décembre 1943, il est arrêté par les forces allemandes et est soumis à des actes de tortures dans le but d'obtenir des informations. Malgré cela, il résiste, les allemands décident alors de le transférer au camp de concentration de Mauthausen.
Malheureusement, Fernand Petit décède le 20 avril 1945, seulement huit jours avant la libération du camp par les forces américaines.
Son courage et sa résistance face à l'oppression nazie restent un exemple de détermination pour la mémoire de la résistance française.
Source : CEDREL
