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Billet de blog À la manière d’un tableau du Caravage, Ali Chahrour interroge la passion amoureuse dans le clair-obscur crépusculaire de la fin d’une liaison interdite. Accompagné par le chant liturgique de Leila Chahrour, «The love behind my eyes», troisième volet du triptyque «Love», explore les labyrinthes du désir, de la sexualité et de l’interdit. Bouleversant.

Par guillaume lasserre, dans le Club de Mediapart. Analyses, opinions, témoignages, tribunes… le Club est l'espace d'expression libre des abonné·es de Mediapart (en accès libre).

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