Juillet / Aout = Chambre a pression
Pour caractériser l'état hydrique d'une vigne, plusieurs méthodes sont utilisées. Une méthode consiste à réaliser des mesures de potentiel hydrique de tige avec une chambre a pression. Cet instrument permet de mesurer la contrainte hydrique subie par la plante, à travers des mesures effectuées sur les feuilles.
Chaque feuille échantillonnée est d'abord couverte sur la plante avec des sachets opaques pendant environ 1h. Ceci arrête l'activité photosynthétique de la feuille, permettant à son niveau de contrainte hydrique de s'équilibrer avec celui de la plante entière. Ensuite, chaque feuille est prélevée et mise sous pression jusqu'à ce qu'une goutte d'eau perle à la sortie du pétiole. La pression mesuree indique le niveau de contrainte hydrique subi par la plante, variant de absent a tres severe .
Ces mesures sont réalisées uniquement par temps ensoleillé, entre 12h et 15h.
Cet essai, suivi par Emma CARROT, chargée de mission bio, compare, à un témoin, trois types de biostimulants censés améliorer la réaction de la plante face à la contrainte hydrique, sur une parcelle non-irriguée.
L'acquisition de références sur les biostimulants est assurée par Mathieu GREMILLET, conseiller agriculture et numérique. Cela s'inscrit dans le cadre d'un programme expérimental coordonné par Jouanel POULMARC’H, chargé de mission changement climatique, impliquant un réseau de parcelles dans tout le département.
#eauhérault #viticulturehérault #biostimulants #CA34 #chambreàpression
Pour caractériser l'état hydrique d'une vigne, plusieurs méthodes sont utilisées. Une méthode consiste à réaliser des mesures de potentiel hydrique de tige avec une chambre a pression. Cet instrument permet de mesurer la contrainte hydrique subie par la plante, à travers des mesures effectuées sur les feuilles.
Chaque feuille échantillonnée est d'abord couverte sur la plante avec des sachets opaques pendant environ 1h. Ceci arrête l'activité photosynthétique de la feuille, permettant à son niveau de contrainte hydrique de s'équilibrer avec celui de la plante entière. Ensuite, chaque feuille est prélevée et mise sous pression jusqu'à ce qu'une goutte d'eau perle à la sortie du pétiole. La pression mesuree indique le niveau de contrainte hydrique subi par la plante, variant de absent a tres severe .
Ces mesures sont réalisées uniquement par temps ensoleillé, entre 12h et 15h.
Cet essai, suivi par Emma CARROT, chargée de mission bio, compare, à un témoin, trois types de biostimulants censés améliorer la réaction de la plante face à la contrainte hydrique, sur une parcelle non-irriguée.
L'acquisition de références sur les biostimulants est assurée par Mathieu GREMILLET, conseiller agriculture et numérique. Cela s'inscrit dans le cadre d'un programme expérimental coordonné par Jouanel POULMARC’H, chargé de mission changement climatique, impliquant un réseau de parcelles dans tout le département.
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