TRIBUNE DES ELUS DE LA MAJORITE MUNICIPALE :
L’opposition lance sa campagne municipale au milieu des drapeaux palestiniens
Lors de la braderie d’Hénin-Beaumont qui s’est déroulée début septembre, l’opposition a convoqué la presse pour lancer sa campagne municipale. Les différentes photos et vidéos ont démontré la présence massive de drapeaux palestiniens. Pire, la police a dû intervenir en plein centre-ville lorsque des jeunes, venus de Lille, sont allés agresser verbalement plusieurs élus municipaux à coup de slogans islamistes.
Il est vrai que les députés Insoumis, inconnus en dehors des réseaux sociaux, étaient venus parader aux côtés de Mmes Tondelier et Taourit.
Avec l’arrogance et le mépris de classe des grands bourgeois qui voulaient rééduquer les ouvriers à la sortie des usines à la fin du 19e siècle, ils ont déambulé dans notre commune avec comme réaction de la population un mélange d’indifférence et de dégoût face à ces élus inconnus venus bomber le torse dans une ville qui a pourtant été gravement victime des magouilles de la gauche et de l’extrême-gauche.
Tondelier et Taourit ne proposent rien d’autre comme programme municipal que l’islamo-gauchisme. Aucune proposition pour notre ville. Le seul axe de communication est de cracher en permanence sur Hénin-Beaumont, avec la complaisance d’une certaine presse aussi parisienne que Tondelier.
Il est vrai que la campagne municipale de la gauche d’Hénin-Beaumont est tantôt dirigée depuis la ville communiste d’Avion, où Taourit et Ranieri viennent prendre leurs ordres, tantôt depuis Paris que Tondelier ne quitte plus.
Il faut dire que pendant de longues semaines, elle a tout fait pour devenir ministrable alors qu’elle est la responsable de la pire campagne écologiste de l’histoire des élections européennes, pourtant la plus favorable depuis toujours aux Verts.
Encore une fois, pourtant sanctionnée sévèrement par le peuple, elle a été sauvée par les médias qui ont monté un grand roman autour de sa personne, alors qu’elle n’est qu’une opportuniste prête à tout pour se faire voir et tenter de progresser électoralement.
Tantôt au téléphone avec Macron, tantôt contre lui quand ça la sert, tantôt hostile à Mélenchon, tantôt à sa remorque pour obtenir quelques postes, elle incarne une duplicité, et une capacité à changer en fonction des circonstances, que les Français ne supportent plus en politique.
Mais la lassitude finit toujours par arriver et la veste verte trouvera bien un jour la route du pressing (là encore, pur élément marketing hérité de Laurent Wauquiez qui paradait jadis avec sa parka rouge pour être sûr que les caméras ne le ratent pas). Qu’on se le dise, Tondelier est en toc.
L’opposition lance sa campagne municipale au milieu des drapeaux palestiniens
Lors de la braderie d’Hénin-Beaumont qui s’est déroulée début septembre, l’opposition a convoqué la presse pour lancer sa campagne municipale. Les différentes photos et vidéos ont démontré la présence massive de drapeaux palestiniens. Pire, la police a dû intervenir en plein centre-ville lorsque des jeunes, venus de Lille, sont allés agresser verbalement plusieurs élus municipaux à coup de slogans islamistes.
Il est vrai que les députés Insoumis, inconnus en dehors des réseaux sociaux, étaient venus parader aux côtés de Mmes Tondelier et Taourit.
Avec l’arrogance et le mépris de classe des grands bourgeois qui voulaient rééduquer les ouvriers à la sortie des usines à la fin du 19e siècle, ils ont déambulé dans notre commune avec comme réaction de la population un mélange d’indifférence et de dégoût face à ces élus inconnus venus bomber le torse dans une ville qui a pourtant été gravement victime des magouilles de la gauche et de l’extrême-gauche.
Tondelier et Taourit ne proposent rien d’autre comme programme municipal que l’islamo-gauchisme. Aucune proposition pour notre ville. Le seul axe de communication est de cracher en permanence sur Hénin-Beaumont, avec la complaisance d’une certaine presse aussi parisienne que Tondelier.
Il est vrai que la campagne municipale de la gauche d’Hénin-Beaumont est tantôt dirigée depuis la ville communiste d’Avion, où Taourit et Ranieri viennent prendre leurs ordres, tantôt depuis Paris que Tondelier ne quitte plus.
Il faut dire que pendant de longues semaines, elle a tout fait pour devenir ministrable alors qu’elle est la responsable de la pire campagne écologiste de l’histoire des élections européennes, pourtant la plus favorable depuis toujours aux Verts.
Encore une fois, pourtant sanctionnée sévèrement par le peuple, elle a été sauvée par les médias qui ont monté un grand roman autour de sa personne, alors qu’elle n’est qu’une opportuniste prête à tout pour se faire voir et tenter de progresser électoralement.
Tantôt au téléphone avec Macron, tantôt contre lui quand ça la sert, tantôt hostile à Mélenchon, tantôt à sa remorque pour obtenir quelques postes, elle incarne une duplicité, et une capacité à changer en fonction des circonstances, que les Français ne supportent plus en politique.
Mais la lassitude finit toujours par arriver et la veste verte trouvera bien un jour la route du pressing (là encore, pur élément marketing hérité de Laurent Wauquiez qui paradait jadis avec sa parka rouge pour être sûr que les caméras ne le ratent pas). Qu’on se le dise, Tondelier est en toc.