Opel Insignia OPC : quand le Blitz voulait défier Munich et Ingolstadt

Opel Insignia OPC : quand le Blitz voulait défier Munich et Ingolstadt  (1/1)

Nous sommes en 2008. Opel présente sa nouvelle berline, l'Insignia, chargée de remplacer la Vectra. La voiture est bien accueillie par le public, si bien qu'elle reçoit une déclinaison break l'année suivante. Opel ira même jusqu'à proposer une version sportive, portant le badge OPC, forte de plus de 300 chevaux. De quoi mettre un petit coup de pression à BMW, Audi et Mercedes…
De nos jours, Opel n'a plus véritablement une image sportive. La marque allemande compte aujourd'hui plus de SUV que de berlines et de compactes. Et si les responsables du département marketing vantent fièrement leur nouveau label « sportif » GSe, on rappelle qu'il ne s'agit en réalité que de l'appellation de la motorisation hybride rechargeable… partagée avec les cousines de chez Peugeot, entre autres. Pas de quoi se relever la nuit, donc. Mais il n'y a encore pas si longtemps, on trouvait bel et bien un véritable badge sportif dans la gamme Opel.
« Opel Performance Center », ça vous parle ? Non ? Peut-être en version raccourcie, alors : OPC. Trois lettres qui se sont retrouvées apposées sur certains des modèles les plus énervés de l'histoire de la marque à l'éclair. Corsa, Astra, Vectra… Même le monospace Zafira a eu droit à sa version OPC ! Alors, quand Opel a présenté sa nouvelle Insignia, en 2008, on savait déjà inconsciemment ce qui allait se passer.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Lire aussi : Opel Astra IRC par Irmscher : Esprit OPC, es-tu là ?

Plus d'informations

Publicité
Écrire un commentaire

Publicité