L’électrique au prix du thermique : ce n’est pas pour tout de suite !

L’électrique au prix du thermique : ce n’est pas pour tout de suite ! (1/1)

Alors que les constructeurs étoffent leurs gammes de voitures électriques, on s'aperçoit que les tarifs ne cessent d'augmenter. Ce constat est encore plus flagrant dans le cas où les marques remplacent des modèles dotés de moteurs à combustion par des nouveautés à batteries. La nouvelle Audi A6 en est le parfait exemple, mais ce n'est pas la seule…
Il y a une dizaine d'années, lorsque les constructeurs ont commencé à se pencher sérieusement sur la voiture électrique, de nombreux acheteurs craignaient une hausse généralisée des tarifs. Bien entendu, les hautes instances et les marques n'ont jamais cessé de répéter que les prix allaient s'équilibrer au bout d'un moment. Mais s'équilibrer à quel niveau ? Pas au plus bas visiblement, du moins pour une bonne partie de constructeurs.
Évidemment, cela ne concerne pas l'ensemble des marques. On peut saluer les efforts de certaines d'entre elles, notamment Citroën et Dacia, qui se sont improvisées défenseuses de l'électromobilité accessible. Rappelons qu'une Citroën Ë-C3 s'affiche à partir de 14.800 euros (bonus déduit), soit sensiblement les mêmes tarifs que sa déclinaison thermique. Les choses sont un peu plus compliquées du côté de la Dacia Spring, qui ne bénéficie pas du bonus de 4.000 euros. Mais elle parvient tout de même à rester sous la barre des 20.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Lire aussi : Marché automobile en juillet : la baisse se confirme en France

Plus d'informations

Publicité
Écrire un commentaire

Publicité