Dodge Viper : voici tout ce qu’il faut retenir sur le plus venimeux des serpents américains

Dodge Viper : voici tout ce qu’il faut retenir sur le plus venimeux des serpents américains (1/1)

Voilà déjà un moment que la Dodge Viper a été définitivement arrêtée et retirée du catalogue de la marque américaine. Son absence laisse un vide au pays de l'Oncle Sam, où elle était considérée comme l'une des supercars les plus bestiales. Voici justement tout ce qu'il y a à savoir sur ce monstre de la route.
La Terre s'est brièvement arrêtée de tourner en 1992, quand Dodge a présenté la première génération de la Viper. À une époque où les supercars européennes commençaient à se « civiliser », la Viper a fait honneur à son ADN américain. Son look démoniaque, son habitacle minimaliste et son incroyable V10 de pick-up l'ont rapidement élevé au rang d'icône de l'automobile. Au total, 5 générations se sont succédé, avec tout de même une interruption de plusieurs années entre la 4ème et la dernière.
La Viper a toujours eu une réputation sulfureuse de voiture extrêmement difficile à conduire. Une réputation loin d'être usurpée, puisque la bête a embarqué un V10 du début à la fin de sa carrière, toujours associé à une boîte de vitesses manuelle. Une transmission intégrale ? C'est bon pour les Européennes, la Viper ne martyrise que ses immenses pneus arrière (et son conducteur).{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

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