Jiotto, une petite marque japonaise des années 90, a cherché à produire une supercar sur son marché domestique : la Caspita. Son histoire est particulièrement intriguante, de sa genèse à sa fabrication en très petite série.
Le marché japonais est dans une période faste, où la supercar locale est un désir de tous les industriels nippons. Concurrencer des marques européennes comme Ferrari, Lamborghini, Jaguar ou McLaren a été le leitmotiv des préparateurs, artisans et constructeurs japonais durant les années 80 et 90.
Derrière Nissan, Toyota, ou même Mazda, qui dépensent des milliards de yens pour réaliser le rêve ultime de la supercar "100% made in Japan", une petite officine s'essaie aussi dans l'exercice périlleux de la fabrication d'une voiture de sport à moteur de F1 : voici l'histoire de la Jiotto Caspita.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}
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