Cette histoire pourrait rappeler les arguments de certaines « féministes » parisiennes qui, il y a quelques années, expliquaient le phénomène du « harcèlement de rue » par l’existence de trottoirs insuffisamment larges. À Lorient, ville où l’insécurité est devenue omniprésente, les bancs publics installés sur le parvis de la gare ont tous été démontés […]