Colonialisme : un coût incommensurable
Au sommet des chefs de gouvernement des pays du Commonwealth, le roi Charles III et son premier ministre Keir Starmer ont été interpellés à propos du rôle de la Grande-Bretagne dans la traite négrière.
Des représentants de plusieurs ex-colonies britanniques estiment que l’ancien occupant leur doit la somme de… 18 trillions de livres sterling, pour réparer les dégâts faits à l’Afrique et à ses habitants par des siècles de déportation et d’exploitation.
Le roi et Starmer ont botté en touche en répondant qu’il fallait d’abord regarder vers l’avenir et qu’ils sont prêts, au lieu des réparations demandées, à aider ces pays dans leur lutte contre le changement climatique.
Balivernes ! Pas plus aujourd’hui qu’hier l’impérialisme britannique ne fera le moindre cadeau aux peuples dominés. La seule réparation possible, ce sera de le renverser.
Au sommet des chefs de gouvernement des pays du Commonwealth, le roi Charles III et son premier ministre Keir Starmer ont été interpellés à propos du rôle de la Grande-Bretagne dans la traite négrière.
Des représentants de plusieurs ex-colonies britanniques estiment que l’ancien occupant leur doit la somme de… 18 trillions de livres sterling, pour réparer les dégâts faits à l’Afrique et à ses habitants par des siècles de déportation et d’exploitation.
Le roi et Starmer ont botté en touche en répondant qu’il fallait d’abord regarder vers l’avenir et qu’ils sont prêts, au lieu des réparations demandées, à aider ces pays dans leur lutte contre le changement climatique.
Balivernes ! Pas plus aujourd’hui qu’hier l’impérialisme britannique ne fera le moindre cadeau aux peuples dominés. La seule réparation possible, ce sera de le renverser.