Netanyahou : accusé de crimes contre l’humanité
La Cour pénale internationale (CPI) vient d’émettre un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, pour « crimes contre l’humanité » et « crimes de guerre ». L’accusation mentionne l’utilisation de la famine comme méthode de combat, la population civile étant sciemment privée de nourriture et d’eau, ainsi que de médicaments, carburant, électricité…
C’est en effet l’évidence même pour qui veut bien regarder en face cette barbarie guerrière. Mais que les puissances impérialistes alliées d’Israël ne veulent pas reconnaître. Netanyahou n’est donc probablement pas près de se retrouver devant un tribunal, même devant ce semblant de tribunal sans pouvoir de la CPI, émanation d’États qui oppriment les exploités du monde entier.
Ce sont l’ensemble des bourgeoisies du monde qui commettent en permanence un crime contre l’humanité en la forçant à vivre sous un régime d’exploitation et de guerres. Et la seule façon de condamner le capitalisme, c’est de le renverser.
La Cour pénale internationale (CPI) vient d’émettre un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, pour « crimes contre l’humanité » et « crimes de guerre ». L’accusation mentionne l’utilisation de la famine comme méthode de combat, la population civile étant sciemment privée de nourriture et d’eau, ainsi que de médicaments, carburant, électricité…
C’est en effet l’évidence même pour qui veut bien regarder en face cette barbarie guerrière. Mais que les puissances impérialistes alliées d’Israël ne veulent pas reconnaître. Netanyahou n’est donc probablement pas près de se retrouver devant un tribunal, même devant ce semblant de tribunal sans pouvoir de la CPI, émanation d’États qui oppriment les exploités du monde entier.
Ce sont l’ensemble des bourgeoisies du monde qui commettent en permanence un crime contre l’humanité en la forçant à vivre sous un régime d’exploitation et de guerres. Et la seule façon de condamner le capitalisme, c’est de le renverser.