Italie : grève dans le textile
Au nord de Florence, à Prato, des dizaines d’ouvriers pakistanais employés dans des entreprises textiles chinoises se sont mis en grève début octobre et auraient obtenu quelques concessions après deux semaines de lutte. Dans cette zone industrielle sont concentrés plus de 6000 entreprises et plus de 40 000 ouvriers, travaillant jusqu’à 12 heures par jour voire 7 jours sur 7, sans congés payés et souvent sans papiers.
Les patrons abusent de cette précarité et des grèves avaient déjà eu lieu ces dernières années. Quantité de ces usines ne sont que des sous-traitantes de grandes marques, mais ces dernières se lavent les mains de ce qui se passe à l’échelon d’en-dessous, et le gouvernement Meloni laisse bien sûr tranquillement la bourgeoisie italienne se faire son beurre sur le dos de ces prolétaires.
Alors le combat de ces ouvriers surexploités pour la dignité est un bel encouragement !
Au nord de Florence, à Prato, des dizaines d’ouvriers pakistanais employés dans des entreprises textiles chinoises se sont mis en grève début octobre et auraient obtenu quelques concessions après deux semaines de lutte. Dans cette zone industrielle sont concentrés plus de 6000 entreprises et plus de 40 000 ouvriers, travaillant jusqu’à 12 heures par jour voire 7 jours sur 7, sans congés payés et souvent sans papiers.
Les patrons abusent de cette précarité et des grèves avaient déjà eu lieu ces dernières années. Quantité de ces usines ne sont que des sous-traitantes de grandes marques, mais ces dernières se lavent les mains de ce qui se passe à l’échelon d’en-dessous, et le gouvernement Meloni laisse bien sûr tranquillement la bourgeoisie italienne se faire son beurre sur le dos de ces prolétaires.
Alors le combat de ces ouvriers surexploités pour la dignité est un bel encouragement !