« On a tous en tête le drame de Valence ! Il est plus qu’urgent d’accélérer la baisse de nos émissions de gaz à effet de serre » s’est exclamé Pannier-Runacher, la ministre de la Transition écologique, en présentant la Programmation pluriannuelle de l’énergie et la Stratégie nationale bas carbone du gouvernement.
Ces rapports, aux noms ronflants, sont censés programmer les actions pour réduire les émissions de CO2. Des centaines de pages détaillent les baisses attendues dans tous les secteurs, des transports au bâtiment en passant par l’industrie et les mesures, comme l’aide à l’isolation des logements, pour y parvenir.
Le hic Non seulement aucun investissement n’est prévu, mais le budget 2025 prévoit même une baisse drastique des moyens octroyés à la transition écologique. Quant à contraindre les maîtres de l’économie, les grands capitalistes, de produire autrement qu’avec le profit comme objectif, cela ne rentre pas dans les plans du gouvernement.
Ces rapports, aux noms ronflants, sont censés programmer les actions pour réduire les émissions de CO2. Des centaines de pages détaillent les baisses attendues dans tous les secteurs, des transports au bâtiment en passant par l’industrie et les mesures, comme l’aide à l’isolation des logements, pour y parvenir.
Le hic Non seulement aucun investissement n’est prévu, mais le budget 2025 prévoit même une baisse drastique des moyens octroyés à la transition écologique. Quant à contraindre les maîtres de l’économie, les grands capitalistes, de produire autrement qu’avec le profit comme objectif, cela ne rentre pas dans les plans du gouvernement.