Marseille : un procès contre le mal-logement
À Marseille s’ouvre le procès de l’effondrement des deux immeubles de la rue d’Aubagne en 2018 qui avait fait huit victimes.
Ces immeubles complètement vétustes étaient loués par des marchands de sommeil à des familles populaires bien incapables de se loger ailleurs. Certains de ces margoulins se retrouvent aujourd’hui dans le box des accusés. Ils y retrouvent un ancien conseiller municipal de la ville, chargé de lutter contre « l’habitat dégradé et indigne », ainsi que l’organisme Marseille Habitat, accusés d’avoir fermé les yeux sur l’état catastrophique du parc immobilier marseillais.
Les familles endeuillées et les associations comptent s'appuyer sur ce procès pour continuer à dénoncer le mal-logement qui n’a pas régressé, les bourgeois, petits et grands qui profitent de la misère des classes populaires pour s’enrichir et les pouvoirs publics qui les laissent faire.
À Marseille s’ouvre le procès de l’effondrement des deux immeubles de la rue d’Aubagne en 2018 qui avait fait huit victimes.
Ces immeubles complètement vétustes étaient loués par des marchands de sommeil à des familles populaires bien incapables de se loger ailleurs. Certains de ces margoulins se retrouvent aujourd’hui dans le box des accusés. Ils y retrouvent un ancien conseiller municipal de la ville, chargé de lutter contre « l’habitat dégradé et indigne », ainsi que l’organisme Marseille Habitat, accusés d’avoir fermé les yeux sur l’état catastrophique du parc immobilier marseillais.
Les familles endeuillées et les associations comptent s'appuyer sur ce procès pour continuer à dénoncer le mal-logement qui n’a pas régressé, les bourgeois, petits et grands qui profitent de la misère des classes populaires pour s’enrichir et les pouvoirs publics qui les laissent faire.
