ARCHIVES 80 ans de la Libération de #Beaucaire / 24 août 1944
Durant toute la semaine, nous publierons des photos, documents et archives relatant cette période.
Après la Libération, #Beaucaire doit se reconstruire.
La fin de la guerre ne règle en rien les problèmes économiques ni ne ramène l’abondance alimentaire, des tickets de rationnement continuant d’être distribués aux Beaucairois jusqu’en 1949.
Les bombardements ont occasionné la destruction partielle ou totale de nombre de quartiers de la ville ou d’édifices publics qu’il convient de reconstruire.
Figurent parmi les priorités de la Mairie la reconstruction des ponts routier et ferroviaire et celle « des abattoirs, de l’école Vigne, de l’école rue Nationale, de l’hôpital, de la charité, de l’ancien octroi du pont.
A cela s’ajoute les réparations de l’église Saint-Paul, chiffrées à 304 000 francs, et celles du Casino municipal, le bâtiment ayant subi deux dommages de guerre distincts dont les dégâts ne peuvent être discriminés, à savoir une occupation par les troupes allemandes et les effets des bombardements aériens de l’été 1944.
Photos : Le pont entre Beaucaire et Tarascon, la gare, la digue de la banquette de Beaucaire en partie détruits par les bombardements.
Plus d'informations dans l'ouvrage "1939 - 1945 Beaucaire La Guerre - l’Occupation - la Libération" édité par la #CCBTA : https://www.calameo.com/read/0060472849922e2ae0c3b
Durant toute la semaine, nous publierons des photos, documents et archives relatant cette période.
Après la Libération, #Beaucaire doit se reconstruire.
La fin de la guerre ne règle en rien les problèmes économiques ni ne ramène l’abondance alimentaire, des tickets de rationnement continuant d’être distribués aux Beaucairois jusqu’en 1949.
Les bombardements ont occasionné la destruction partielle ou totale de nombre de quartiers de la ville ou d’édifices publics qu’il convient de reconstruire.
Figurent parmi les priorités de la Mairie la reconstruction des ponts routier et ferroviaire et celle « des abattoirs, de l’école Vigne, de l’école rue Nationale, de l’hôpital, de la charité, de l’ancien octroi du pont.
A cela s’ajoute les réparations de l’église Saint-Paul, chiffrées à 304 000 francs, et celles du Casino municipal, le bâtiment ayant subi deux dommages de guerre distincts dont les dégâts ne peuvent être discriminés, à savoir une occupation par les troupes allemandes et les effets des bombardements aériens de l’été 1944.
Photos : Le pont entre Beaucaire et Tarascon, la gare, la digue de la banquette de Beaucaire en partie détruits par les bombardements.
Plus d'informations dans l'ouvrage "1939 - 1945 Beaucaire La Guerre - l’Occupation - la Libération" édité par la #CCBTA : https://www.calameo.com/read/0060472849922e2ae0c3b
