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[SANTE]

La semaine dernière, le 22 juin, c’était le « Journée du don d’organes ». ‍

La CCRLCM est très active en matière de santé, avec notamment une lutte constante contre la désertification médicale sur le territoire communautaire. Il est aussi important de parler de ce sujet, encore trop méconnu.

Lorsqu’une personne décède dans les conditions médicales spécifiques qui permettent d’envisager un don d’organes, les médecins s’assurent toujours auprès des proches que le défunt ne s’y était pas opposé de son vivant. En effet, la loi impose aux équipes médicales de consulter l’entourage.

Or, d’après l’Agence de la biomédecine, dans le doute lorsque le sujet n’a pas été abordé, la famille s’oppose au don par prudence, ce qui revient à empêcher 1 prélèvement sur 3.

Il est ainsi primordial de le rappeler à ses proches lorsque l’on est donneur d’organes. Peu importe comment, l’essentiel est de le dire.

En parler de son vivant, c’est soulager ses proches.

En savoir plus sur le don et la bioéthique : https://www.agence-biomedecine.fr/

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