ARDENNES
RÉMY TALARICO CANDIDAT DANS LA 1ÈRE CIRCONSCRIPTION DES ARDENNES
C’est la candidature surprise de cette législative partielle dans la première circonscription des Ardennes depuis le retrait du député Flavien Termet (RN). Rémy Talarico se lance en politique avec un slogan qui en dit long: « Ensemble prenons le parti des Ardennes. » Celui qui vise un siège à l’Assemblée nationale est loin d’être un inconnu dans le département.
Au contact de la population et au service du territoire
L’actuel entrepreneur chez Talacom a fait ses armes, construit son réseau et dopé son envie de défendre le territoire lorsqu’il était chez Flap un personnage central du Cabaret Vert. « Et justement j’ai fait dix ans au Cabaret Vert, dix ans au contact de la population avec les bénévoles de tous horizons, des chefs d’entreprise mais aussi du milieu associatif, indique le candidat. J’ai été à l’écoute et finalement cela m’a nourri au fil du temps. Quand le député Termet a démissionné je me suis dit que c’était le bon moment pour y aller. » Rémy Talarico a pris conseil, s’est entouré et se lance donc dans l’arène politique.
Un candidat sans étiquette, un homme libre
Celui qui a grandi à Rethel se présente en candidat absolument libre. « Je n’ai aucun mentor politique et suis en dehors des partis, lance le trentenaire. Je parle d’ailleurs davantage de vie publique, être un ambassadeur comme je l’ai fait au Cabaret Vert et incarner une alternative avec mes convictions. » La valeur travail, la justice sociale, l’attractivité du territoire sont avancés comme des thèmes majeurs s’il devenait député.
Un vent de fraîcheur et des convictions
La force de travail des Ardennais, leur capacité à s’engager lui tiennent à coeur. « Parce que je l’ai toujours fait moi aussi, glisse l’entrepreneur. Je veux valoriser la valeur travail. Trop de gens bossent et ont du mal à mettre un cadeau sous le sapin de Noël. Cela rejoint d’ailleurs la justice sociale que je veux défendre. Les gens sont abandonnés et paient l’addition vis à vis des élites. J’y vois là d’ailleurs la précédente élection de Flavien Termet (RN). Beaucoup d’électeurs ne sont pas racistes mais juste abandonnés. » Le territoire chevillé au corps le nouveau candidat compte bien renforcer l’attractivité des Ardennes. « En plein coeur de l’Europe on peut se relancer avec ma vision d’avenir », ajoute-t-il. L’accès aux soins, le soutien aux entreprises et aux agriculteurs artisans et commerçants, la formation, la préservation des services publics et la transition écologique ne sont pas oubliés.
Avancer en toute sincérité
Rémy Talarico veut souffler un vent de fraîcheur dans la paysage politique local. « Voter une étiquette ne changera pas le visage de l’Assemblée nationale, assure l’Ardennnais. Mon choix est réfléchi, ma voix complètement indépendante pour défendre la circonscription. Et je saurai m’entourer comme je l’ai toujours fait. Pour avancer avec toute la sincérité et au service de la population. Être député ce n’est pas seulement voter des lois à Paris, c’est aussi et surtout écouter les préoccupations des Ardennais et proposer des solutions concrètes. » Le nouveau venu en politique a d’ailleurs prévu de se confronter prochainement à l’exercice de la conférence de presse pour détailler son programme dédié ai habitants de la 1ère circonscription des Ardennes.
Onze candidats sur la liste de départ
Rémy Talarico est le onzième candidat dans la première circonscription après les candidatures de Damien Lerouge (Nouveau Front Populaire), Guillaume Maréchal (Les Républicains), Mink Takawe (Lutte ouvrière), Bruno North (CNIP), Lionel Vuibert (SE) et Sonia D’Orgeville (Écologie du centre).
Samuel Thiolière
RÉMY TALARICO CANDIDAT DANS LA 1ÈRE CIRCONSCRIPTION DES ARDENNES
C’est la candidature surprise de cette législative partielle dans la première circonscription des Ardennes depuis le retrait du député Flavien Termet (RN). Rémy Talarico se lance en politique avec un slogan qui en dit long: « Ensemble prenons le parti des Ardennes. » Celui qui vise un siège à l’Assemblée nationale est loin d’être un inconnu dans le département.
Au contact de la population et au service du territoire
L’actuel entrepreneur chez Talacom a fait ses armes, construit son réseau et dopé son envie de défendre le territoire lorsqu’il était chez Flap un personnage central du Cabaret Vert. « Et justement j’ai fait dix ans au Cabaret Vert, dix ans au contact de la population avec les bénévoles de tous horizons, des chefs d’entreprise mais aussi du milieu associatif, indique le candidat. J’ai été à l’écoute et finalement cela m’a nourri au fil du temps. Quand le député Termet a démissionné je me suis dit que c’était le bon moment pour y aller. » Rémy Talarico a pris conseil, s’est entouré et se lance donc dans l’arène politique.
Un candidat sans étiquette, un homme libre
Celui qui a grandi à Rethel se présente en candidat absolument libre. « Je n’ai aucun mentor politique et suis en dehors des partis, lance le trentenaire. Je parle d’ailleurs davantage de vie publique, être un ambassadeur comme je l’ai fait au Cabaret Vert et incarner une alternative avec mes convictions. » La valeur travail, la justice sociale, l’attractivité du territoire sont avancés comme des thèmes majeurs s’il devenait député.
Un vent de fraîcheur et des convictions
La force de travail des Ardennais, leur capacité à s’engager lui tiennent à coeur. « Parce que je l’ai toujours fait moi aussi, glisse l’entrepreneur. Je veux valoriser la valeur travail. Trop de gens bossent et ont du mal à mettre un cadeau sous le sapin de Noël. Cela rejoint d’ailleurs la justice sociale que je veux défendre. Les gens sont abandonnés et paient l’addition vis à vis des élites. J’y vois là d’ailleurs la précédente élection de Flavien Termet (RN). Beaucoup d’électeurs ne sont pas racistes mais juste abandonnés. » Le territoire chevillé au corps le nouveau candidat compte bien renforcer l’attractivité des Ardennes. « En plein coeur de l’Europe on peut se relancer avec ma vision d’avenir », ajoute-t-il. L’accès aux soins, le soutien aux entreprises et aux agriculteurs artisans et commerçants, la formation, la préservation des services publics et la transition écologique ne sont pas oubliés.
Avancer en toute sincérité
Rémy Talarico veut souffler un vent de fraîcheur dans la paysage politique local. « Voter une étiquette ne changera pas le visage de l’Assemblée nationale, assure l’Ardennnais. Mon choix est réfléchi, ma voix complètement indépendante pour défendre la circonscription. Et je saurai m’entourer comme je l’ai toujours fait. Pour avancer avec toute la sincérité et au service de la population. Être député ce n’est pas seulement voter des lois à Paris, c’est aussi et surtout écouter les préoccupations des Ardennais et proposer des solutions concrètes. » Le nouveau venu en politique a d’ailleurs prévu de se confronter prochainement à l’exercice de la conférence de presse pour détailler son programme dédié ai habitants de la 1ère circonscription des Ardennes.
Onze candidats sur la liste de départ
Rémy Talarico est le onzième candidat dans la première circonscription après les candidatures de Damien Lerouge (Nouveau Front Populaire), Guillaume Maréchal (Les Républicains), Mink Takawe (Lutte ouvrière), Bruno North (CNIP), Lionel Vuibert (SE) et Sonia D’Orgeville (Écologie du centre).
Samuel Thiolière