CHARLEVILLE-MÉZIÈRES/PRIX
L’OCPAM REVIENT AVEC UN NUL
Le club de Charleville/Prix est allé chercher le partage des points à Calais (1-1) ce samedi au terme d’un match équilibré.
Des erreurs défensives à la chaîne
Les joueurs ardennais avaient ouvert le score par Mabunda dans le premier acte avant de se faire rejoindre par les Calaisiens au terme d’un cumul invraisemblable d’erreurs des coéquipiers d’Harvey. L’OCPAM
va se procurer la dernière occasion en fin de match mais le tableau d’affichage en restera là. Un résultat somme toute logique entre deux équipes au coude à coude sur le terrain.
Le coach Papavero: « C’est frustrant car on prend un but suite à un enchaînement d’erreurs individuelles. Et cela gâche tout ce qui a été positif avec une maîtrise du jeu et une domination en première mi -temps avant que l’adversaire ne revienne plus agressif après la pause. On a pourtant su reprendre notre marche en avant dans le dernier quart d’heure. Vraiment on défend sur courant alternatif, ce but c’est pas possible alors oui ça reste frustrant ».
Samuel Thiolière
L’OCPAM REVIENT AVEC UN NUL
Le club de Charleville/Prix est allé chercher le partage des points à Calais (1-1) ce samedi au terme d’un match équilibré.
Des erreurs défensives à la chaîne
Les joueurs ardennais avaient ouvert le score par Mabunda dans le premier acte avant de se faire rejoindre par les Calaisiens au terme d’un cumul invraisemblable d’erreurs des coéquipiers d’Harvey. L’OCPAM
va se procurer la dernière occasion en fin de match mais le tableau d’affichage en restera là. Un résultat somme toute logique entre deux équipes au coude à coude sur le terrain.
Le coach Papavero: « C’est frustrant car on prend un but suite à un enchaînement d’erreurs individuelles. Et cela gâche tout ce qui a été positif avec une maîtrise du jeu et une domination en première mi -temps avant que l’adversaire ne revienne plus agressif après la pause. On a pourtant su reprendre notre marche en avant dans le dernier quart d’heure. Vraiment on défend sur courant alternatif, ce but c’est pas possible alors oui ça reste frustrant ».
Samuel Thiolière
