i Fièvre catarrhale ovine (FCO ou maladie de la langue bleue)
Plusieurs suspicions de fièvre catarrhale ovine (FCO, aussi appelée maladie de la langue bleue) ont été signalées depuis 1 semaine dans des exploitations ovines et bovines du département.
Cette maladie, transmise aux ruminants par les moucherons (Culicoïdes), n’est pas transmissible aux humains. Elle n'a aucun impact sur la qualité sanitaire des denrées produites, mais peut toutefois entraîner des pertes importantes dans les exploitations touchées : mortalité, avortements, baisses de production…
Les premières analyses réalisées sur les cas haut-alpins indiquent qu’il s’agit du variant 8 de la maladie, qui circule depuis plusieurs années déjà sur le territoire national, contrairement au variant 3 qui a fait son apparition au début du mois d’août dans le Nord-Est de la France.
En cas de suspicion, les éleveurs doivent contacter le vétérinaire sanitaire qui interviendra dans leur exploitation pour réaliser des prélèvements de confirmation. Ce diagnostic est pris en charge à 100 % par l’État.
Des mesures de #prévention efficaces existent : #vaccination et désinsectisation des animaux, des bâtiments, des véhicules et du matériel.
Les éleveurs du département sont encouragés à contacter leur vétérinaire pour établir le protocole le plus adapté à leur situation.
www.hautes-alpes.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/Communiques-de-presse-2024/Suspicions-de-cas-de-fievre-catarrhale-ovine-FCO-ou-maladie-de-la-langue-bleue
Plusieurs suspicions de fièvre catarrhale ovine (FCO, aussi appelée maladie de la langue bleue) ont été signalées depuis 1 semaine dans des exploitations ovines et bovines du département.
Cette maladie, transmise aux ruminants par les moucherons (Culicoïdes), n’est pas transmissible aux humains. Elle n'a aucun impact sur la qualité sanitaire des denrées produites, mais peut toutefois entraîner des pertes importantes dans les exploitations touchées : mortalité, avortements, baisses de production…
Les premières analyses réalisées sur les cas haut-alpins indiquent qu’il s’agit du variant 8 de la maladie, qui circule depuis plusieurs années déjà sur le territoire national, contrairement au variant 3 qui a fait son apparition au début du mois d’août dans le Nord-Est de la France.
En cas de suspicion, les éleveurs doivent contacter le vétérinaire sanitaire qui interviendra dans leur exploitation pour réaliser des prélèvements de confirmation. Ce diagnostic est pris en charge à 100 % par l’État.
Des mesures de #prévention efficaces existent : #vaccination et désinsectisation des animaux, des bâtiments, des véhicules et du matériel.
Les éleveurs du département sont encouragés à contacter leur vétérinaire pour établir le protocole le plus adapté à leur situation.
www.hautes-alpes.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/Communiques-de-presse-2024/Suspicions-de-cas-de-fievre-catarrhale-ovine-FCO-ou-maladie-de-la-langue-bleue