Alerte escroquerie
Nos amis "Irlandais" sont de retour dans le grand Est
Bientôt en tournée près de chez vous...
Le phénomène des bitumeurs irlandais. KEZAKO
Sous couvert d’une activité professionnelle légale, ces bandes, aussi connues sous le nom de « bitumeurs irlandais » démarchent des victimes (particuliers ou professionnels, tels que des gérants de société ou des agriculteurs) en prétendant vouloir se débarrasser d’un surplus de bitume provenant d’une fin de chantier.
Ils affichent des prix particulièrement attractifs (ces derniers varient entre 7 et 15 euros le m2 au lieu de 40 euros en moyenne sur le marché légal).
La plupart du temps, un accord amiable est passé sans qu’aucun devis ou contrat ne soit établi. Les travaux sont réalisés très rapidement, le jour même ou le lendemain. Ils exigent un paiement immédiat, en espèce, par chèque (qui est encaissé puis décaissé aussitôt) ou carte bancaire à l’aide de terminaux de paiement. En cas de réticence, le client fait parfois l’objet de menaces ou d'intimidations
Ne cédez pas aux sirènes des affaires "trop belles pour être vraies".
En cas de doute, de pressions psychologiques ou de menaces, appelez immédiatement la gendarmerie. Agissez dans l'instant, n'attendez pas. Faites le 17
Bon dimanche
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Le phénomène des bitumeurs irlandais. KEZAKO
Sous couvert d’une activité professionnelle légale, ces bandes, aussi connues sous le nom de « bitumeurs irlandais » démarchent des victimes (particuliers ou professionnels, tels que des gérants de société ou des agriculteurs) en prétendant vouloir se débarrasser d’un surplus de bitume provenant d’une fin de chantier.
Ils affichent des prix particulièrement attractifs (ces derniers varient entre 7 et 15 euros le m2 au lieu de 40 euros en moyenne sur le marché légal).
La plupart du temps, un accord amiable est passé sans qu’aucun devis ou contrat ne soit établi. Les travaux sont réalisés très rapidement, le jour même ou le lendemain. Ils exigent un paiement immédiat, en espèce, par chèque (qui est encaissé puis décaissé aussitôt) ou carte bancaire à l’aide de terminaux de paiement. En cas de réticence, le client fait parfois l’objet de menaces ou d'intimidations
Ne cédez pas aux sirènes des affaires "trop belles pour être vraies".
En cas de doute, de pressions psychologiques ou de menaces, appelez immédiatement la gendarmerie. Agissez dans l'instant, n'attendez pas. Faites le 17
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