Classement Vendée Globe 2024, le 24 novembre 2024 à 15H

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Classement Vendée Globe 2024, le 24 novembre 2024 à 15H (1/1)

Le Vendée Globe 2024 continue de captiver les amateurs de voile et de défis extrêmes. À mi-parcours de cette course mythique, le classement à 15 heures, ce dimanche 24 novembre, révèle des écarts significatifs mais promet encore de nombreux rebondissements. Décryptons ensemble les performances actuelles et les enjeux à venir.


Charlie Dalin en tête : un leader incontestable


Charlie Dalin, à bord de MACIF Santé Prévoyance, occupe solidement la première place. Avec une maîtrise exceptionnelle de son IMOCA et des choix stratégiques audacieux, il conserve une avance significative sur ses concurrents.



« Charlie Dalin démontre une fois de plus qu’il est l’un des meilleurs navigateurs de sa génération. Son calme et sa capacité à lire les conditions météorologiques le placent dans une position enviable. » – Un analyste maritime.



En deuxième position, Thomas Ruyant, sur VULNERABLE, se bat pour réduire l’écart de 32,9 milles nautiques qui le sépare du leader. Derrière lui, Yoann Richomme, sur PAPREC ARKÉA, complète le podium avec un retard de 61,7 milles nautiques. Ces deux skippers doivent désormais trouver les fenêtres stratégiques pour rattraper Dalin.


Des écarts significatifs mais rattrapables


Le top 5 du classement montre des écarts croissants avec le leader :



  • 1er : Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance) – 0,0 nm d’écart.

  • 2e : Thomas Ruyant (VULNERABLE) – 32,9 nm d’écart.

  • 3e : Yoann Richomme (PAPREC ARKÉA) – 61,7 nm d’écart.

  • 4e : Sam Goodchild (VULNERABLE) – 75,1 nm d’écart.

  • 5e : Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) – 83,9 nm d’écart.


Selon les experts, ces écarts peuvent sembler importants, mais les conditions météorologiques à venir pourraient redistribuer les cartes, notamment avec des zones de calmes attendues au sud de l’océan Indien.


Les défis des skippers dans l’océan Indien


Naviguer dans l’océan Indien est un véritable test pour les skippers. Les vents capricieux et les systèmes dépressionnaires complexes imposent des décisions tactiques précises. Sam Goodchild, quatrième au classement, fait face à un dilemme : suivre les leaders ou tenter une route alternative plus risquée mais potentiellement payante.


Sébastien Simon, cinquième, confiait récemment :



« Dans cette zone, il ne s’agit pas seulement d’aller vite, mais aussi d’économiser le bateau. Chaque décision peut coûter cher. »



Les skippers jonglent avec des problèmes techniques, des réparations à bord et des stratégies de récupération pour rester compétitifs.


Tableau du classement au 24 novembre 2024, 15 heures


































































































































RangNat. / VoileSkipper / BateauDistance avec le leader
1FRA

FRA 79
Charlie Dalin

MACIF Santé Prévoyance
0.0 nm
2FRA

FRA 59
Thomas Ruyant

VULNERABLE
32.9 nm
3FRA

FRA 24
Yoann Richomme

PAPREC ARKÉA
61.7 nm
4GBR

FRA 100
Sam Goodchild

VULNERABLE
75.1 nm
5FRA

FRA 112
Sébastien Simon

Groupe Dubreuil
83.9 nm
6FRA

FRA 3
Jérémie Beyou

Charal
107.2 nm
7FRA

FRA85
Nicolas Lunven

HOLCIM – PRB
107.9 nm
8FRA

FRA 17
Yannick Bestaven

Maître CoQ V
119.5 nm
9FRA

FRA 2030
Paul Meilhat

Biotherm
140.1 nm
10GBR

FRA 109
Samantha Davies

Initiatives-Cœur
174.1 nm
11SUI

FRA 08
Justine Mettraux

TeamWork – Team Snef
203.0 nm
12FRA

FRA 15
Clarisse Crémer

L’Occitane en Provence
223.6 nm
13GER

MON 1297
Boris Herrmann

Malizia – Seaexplorer
251.3 nm
14FRA

FRA 09
Benjamin Dutreux

GUYOT environnement – Water Family
291.9 nm
15GBR

GBR 777
Pip Hare

Medallia
333.9 nm
16FRA

FRA 10
Romain Attanasio

Fortinet – Best Western
343.3 nm
17FRA

FRA 13
Damien Seguin

Groupe APICIL
386.9 nm
18FRA

FRA 18
Louis Burton

Bureau Vallée
532.8 nm
19FRA

FRA 27
Isabelle Joschke

MACSF
649.0 nm
20FRA

FRA 29
Jean Le Cam

Tout commence en Finistère – Armor-lux
722.6 nm
21FRA

FRA 5
Éric Bellion

STAND AS ONE – Altavia
745.4 nm
22FRA

FRA 01
Violette Dorange

DeVenir
749.0 nm
23NZL

NZL 64
Conrad Colman

MS Amlin
810.5 nm
24SUI

SUI 7
Alan Roura

Hublot
814.4 nm
25FRA

FRA 172
Louis Duc

Fives Group – Lantana Environnement
815.0 nm
26FRA

FRA 30
Benjamin Ferré

Monnoyeur – DUO for a JOB
832.1 nm
27FRA

FRA 1000
Tanguy Le Turquais

Lazare
837.2 nm
28FRA

FRA 14
Arnaud Boissières

La Mie Câline
837.5 nm
29ITA

ITA 34
Giancarlo Pedote

Prysmian
838.3 nm
30JPN

JPN 11
Kojiro Shiraishi

DMG MORI Global One
857.8 nm
31FRA

FRA 83
Sébastien Marsset

FOUSSIER
880.8 nm
32FRA

FRA 22
Guirec Soudée

Freelance.com
893.0 nm
33FRA

FRA 71
Manuel Cousin

Coup de Pouce
968.0 nm
34FRA

FRA 1461
Antoine Cornic

HUMAN Immobilier
969.0 nm
35FRA

FRA 56
Fabrice Amedeo

Nexans – Wewise
972.7 nm
36SUI

SUI 49
Oliver Heer

Tut gut.
976.9 nm
37BEL

BEL 207
Denis Van Weynbergh

D’Ieteren Group
1056.5 nm
38CHN

CHN 5
Jingkun Xu

Singchain Team Haikou
1208.9 nm
39HUN

HUN 23
Szabolcs Weöres

New Europe
2022.8 nm
RETFRA

FRA 53
Maxime Sorel

V and B – Monbana – Mayenne


Quelles stratégies pour les prétendants au podium ?


Pour rattraper Charlie Dalin, plusieurs options s’offrent aux poursuivants :



  • Exploiter les zones de transition : Des changements dans la force et la direction du vent offrent des opportunités.

  • Tirer parti des fronts météo : En s’alignant avec les systèmes dépressionnaires, ils peuvent augmenter leur vitesse.

  • Maintenir une trajectoire directe : Cela minimise les risques, mais limite les chances de dépasser le leader.


Chaque skipper doit jongler entre prudence et audace pour maximiser ses chances. Selon les prévisions, des vents soutenus pourraient favoriser des accélérations importantes pour les retardataires.


Les enjeux pour la suite de la course


Alors que les skippers progressent vers les latitudes australes, les défis s’intensifient. Les prochaines semaines seront marquées par :



  • La gestion des zones de glace et des vents violents.

  • Des choix tactiques critiques dans les passages de fronts météorologiques.

  • La fatigue accumulée qui peut impacter les performances.


Le Vendée Globe 2024 reste une course d’endurance, où chaque détail compte. Charlie Dalin a peut-être une avance, mais rien n’est joué. Comme le souligne un expert :



« Le Vendée Globe est imprévisible. Ce n’est pas seulement une course de vitesse, c’est aussi une bataille mentale. »



Que pensez-vous de ce classement ? Selon vous, qui a le plus de chances de remporter cette édition ? Partagez vos impressions dans les commentaires !


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