Alors que Sciences Po Paris a pris mardi la même décision, l’université de Strasbourg a invoqué « un risque de trouble à l’ordre public » dans le contexte du conflit au Proche-Orient
Alors que Sciences Po Paris a pris mardi la même décision, l’université de Strasbourg a invoqué « un risque de trouble à l’ordre public » dans le contexte du conflit au Proche-Orient