En France, on estime que dans 20% des cas, la volonté d'un défunt de léguer ses organes n'est pas respectée, faute de communication avec la famille. Il est essentiel d'en discuter et de se positionner clairement, témoigne Magali Gricourt, qui a reçu il y a 47 ans le rein d'un enfant de 5 ans.