[ LE PORTRAIT DU JOUR ]
Le bruit des explosions, les montagnes de déchets, les cohortes de déplacés qui fuient les bombes, la mort et les combats. Au moment d’évoquer ses deux dernières missions à l’étranger pour Médecins sans frontières, la douce voix d’Aurélie Godard, anesthésiste-réanimatrice à l’hôpital d’Annecy, se fait plus forcée. Car ce qu’elle a vécu à Gaza, en janvier-février dernier, puis en avril-mai, a dépassé les situations qu’elle avait déjà affrontées depuis le début de son engagement humanitaire, en 2012.
Rencontre avec Aurélie Godard, partie à Gaza pour venir en aide aux Palestiniens (lien vers l'article en commentaire).
Greg Yetchmeniza
Le bruit des explosions, les montagnes de déchets, les cohortes de déplacés qui fuient les bombes, la mort et les combats. Au moment d’évoquer ses deux dernières missions à l’étranger pour Médecins sans frontières, la douce voix d’Aurélie Godard, anesthésiste-réanimatrice à l’hôpital d’Annecy, se fait plus forcée. Car ce qu’elle a vécu à Gaza, en janvier-février dernier, puis en avril-mai, a dépassé les situations qu’elle avait déjà affrontées depuis le début de son engagement humanitaire, en 2012.
Rencontre avec Aurélie Godard, partie à Gaza pour venir en aide aux Palestiniens (lien vers l'article en commentaire).
Greg Yetchmeniza