[ VOL D'UN VIOLONCELLE ]
« Je ne peux qu’espérer, sinon je m’écroule. » La musicienne haut-savoyarde Ophélie Gaillard, dévastée par le vol de son violoncelle estimé à plus d’un million d’euros, multiplie les appels à l’aide. C’est à son domicile, entre Annecy et Genève, que cette artiste s’est fait dérober l’instrument. Un véritable trésor. Il s’agit d’un très beau spécimen de la lutherie vénitienne, fabriqué en 1737 par Francesco Goffriller.
C'est à lire sur notre site (lien vers l'article en commentaire).
Archives E.P-.M.
« Je ne peux qu’espérer, sinon je m’écroule. » La musicienne haut-savoyarde Ophélie Gaillard, dévastée par le vol de son violoncelle estimé à plus d’un million d’euros, multiplie les appels à l’aide. C’est à son domicile, entre Annecy et Genève, que cette artiste s’est fait dérober l’instrument. Un véritable trésor. Il s’agit d’un très beau spécimen de la lutherie vénitienne, fabriqué en 1737 par Francesco Goffriller.
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