Double peine pour les éleveurs et céréaliers. Les moissons accusent un déficit de 30 % ajoutée à une qualité moindre des grains. La pluie incessante de cet hiver et ce printemps a fait des dégâts dans les prés et champs. Même dans le Nord Franche-Comté, où les sols sont pourtant plus perméables.