[ CHANTIER A 2 750 M. D'ALTITUDE ]
À 2 750 m d’altitude au fond de la vallée des Glaciers, dans un décor très minéral, à peine plus de quatre jours ont été suffisants à neuf cordistes de la société Haute Voltige pour refaire plus de 350 m² de boiseries du refuge Robert Blanc. Un chantier à la fois original et complexe par son altitude et son isolement, dans un refuge à la capacité d’accueil réduite mais resté ouvert durant les travaux.
Un dossier à lire sur notre site (lien vers l'article en commentaire).
Nicolas Trin
À 2 750 m d’altitude au fond de la vallée des Glaciers, dans un décor très minéral, à peine plus de quatre jours ont été suffisants à neuf cordistes de la société Haute Voltige pour refaire plus de 350 m² de boiseries du refuge Robert Blanc. Un chantier à la fois original et complexe par son altitude et son isolement, dans un refuge à la capacité d’accueil réduite mais resté ouvert durant les travaux.
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Nicolas Trin