Peu de gens savent qu'il y avait à Auschwitz un orchestre de femmes et un orchestre d'hommes ...L'exigence des chefs d'orchestre et la discipline musicale digne de l'Orchestre Philharmonique de Vienne empêchèrent les musiciens et musicienne de sombrer dans la folie et les aidèrent à surmonter, leur offrant une sorte de havre de paix. D'après les témoignages de 2 musiciens (Anita Lasker-Wallfisch et Simon Laks), littéralement sauvés par la musique, nous interrogeant sur la capacité de l'être humain d'être un moment ému aux larmes par une mélodie et l'instant suivant de commettre les pires crimes, Emmanuelle Bertrand et Pascal Amoyel nous font revivre cette expérience incroyable, en nous délivrant un message d’espoir.