A regarder les photographies posthumes, comme il s’en fit tant jusqu’au milieu du XXe siècle, on craint de céder à quelque pulsion nécrophile. Mais si c’était l’inverse ? Et si la mort était "iconophile" comme l'écrivait l’historien Philippe Ariès ?
A regarder les photographies posthumes, comme il s’en fit tant jusqu’au milieu du XXe siècle, on craint de céder à quelque pulsion nécrophile. Mais si c’était l’inverse ? Et si la mort était "iconophile" comme l'écrivait l’historien Philippe Ariès ?