"Je n'y retournais pas parce que le 'mode viol' me correspondait, mais parce que je ne pouvais pas contrôler ma sexualité", a déclaré mercredi cet accusé de 46 ans, devant la cour criminelle du Vaucluse.
"Je n'y retournais pas parce que le 'mode viol' me correspondait, mais parce que je ne pouvais pas contrôler ma sexualité", a déclaré mercredi cet accusé de 46 ans, devant la cour criminelle du Vaucluse.