Interrogés jeudi 3 octobre par la cour criminelle du Vaucluse, plusieurs accusés ont tenté de convaincre les juges qu’ils n’avaient pas violé Gisèle Pelicot. Une défense périlleuse, contredite par de nombreux éléments matériels.
Interrogés jeudi 3 octobre par la cour criminelle du Vaucluse, plusieurs accusés ont tenté de convaincre les juges qu’ils n’avaient pas violé Gisèle Pelicot. Une défense périlleuse, contredite par de nombreux éléments matériels.