Inquiète des répercussions de l’introduction des ordonnances sécurisées pour la prescription de codéine et de tramadol prévue dès le du 1er décembre 2024, la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD) réclamait un moratoire à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). C’est désormais chose faite.