800 millions d’euros : d’après l’Unédic, c’est le montant du surcoût qu’elle doit verser chaque année pour indemniser les frontaliers français qui se retrouvent au chômage. Un sujet brûlant qui revient donc dans l’actualité et interroge sur le profil de ceux qui choisissent de travailler dans un autre pays. Cet été, l’Insee a notamment évoqué le cas des personnels soignants. Décryptage.