Les Grenoblois ne sont pas seulement imposés à Oyonnax vendredi soir (23-36). Chez un rival pour la fin de saison et la montée, ils ont montré leurs muscles. Et les poings, aussi, quand il a fallu répondre à la rébellion des Aindinois.
Les Grenoblois ne sont pas seulement imposés à Oyonnax vendredi soir (23-36). Chez un rival pour la fin de saison et la montée, ils ont montré leurs muscles. Et les poings, aussi, quand il a fallu répondre à la rébellion des Aindinois.