Moins d’un an après la fronde agricole, les syndicats agricoles majoritaires sont passés à l’action comme prévu au niveau national. Sept feux de détresse et de colère ont été allumés aux quatre coins du département lundi soir. Les agriculteurs dénoncent toujours une surcharge de normes, de trop faibles rémunérations ainsi qu’une concurrence déloyale dans le cadre du projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et des pays d’Amérique du Sud.