[ RESTAURATION DU PATRIMOINE - UN PLAN DE SAUVEGARDE POUR SAINT JEAN-BAPTISTE DANS LE DÉSERT ]
Erigée en 1845 par le curé Ambroise Martin, cette statue en bois polychrome de grandeur nature, protégée par un imposant baldaquin, se découvre lors d’une promenade bien connue des amoureux du Calvaire.
Au cœur d’une campagne d’ampleur de restauration et de rénovation de l’imposant patrimoine religieux de Megève, les équipes n’en ont pas oublié cet édifice réfléchi par le Curé Martin dans le but de préparer les paroissiens à l’édification du Calvaire.
Dans la dynamique du diagnostic en cours des chapelles des hameaux du village, les élus ont souhaité que soit également inscrite l’étude de la dite statue et de son monument protecteur qui a mis en lumière la complexité de l’environnement naturel qui nécessite une étude géotechnique avant même la programmation de la restauration de la statue de Saint-Jean-Baptiste. Représentation, qui pour les plus curieux, a été entièrement restaurée et est à nouveau présente sur le fronton de l’église.
A Megeve, nous avons la fierte de posseder un extraordinaire patrimoine religieux qui fait echo a notre histoire. Patrimoine qui, sous le poids des années, nécessite des campagnes de restauration conséquente.
Chaque année, les élus et les services de la commune mettent, édifice après édifice, d’importantes campagnes au budget communal. En quelques années, ce sont les chapelles et les oratoires du Calvaire mais également le cadran solaire, la Croix Saint-Michel et surtout le chantier pharaonique de l’église Saint-Jean-Baptiste qui auront capté toutes les attentions.
Quant a Saint Jean-Baptiste dans le desert, une premiere et breve etape d’etayage de la statue est prevue avant cet hiver en vue du remplacement des poteaux du baldaquin au printemps ainsi que la programmation de la restauration d’art de la statue. Un chantier à venir qui vous sera sans aucun doute largement relayé au cours des prochains numéros de la Lettre de Megève, bulletin municipal trimestriel, qui met régulièrement à l’honneur le travail entrepris pour la sauvegarde de notre beau patrimoine.
Erigée en 1845 par le curé Ambroise Martin, cette statue en bois polychrome de grandeur nature, protégée par un imposant baldaquin, se découvre lors d’une promenade bien connue des amoureux du Calvaire.
Au cœur d’une campagne d’ampleur de restauration et de rénovation de l’imposant patrimoine religieux de Megève, les équipes n’en ont pas oublié cet édifice réfléchi par le Curé Martin dans le but de préparer les paroissiens à l’édification du Calvaire.
Dans la dynamique du diagnostic en cours des chapelles des hameaux du village, les élus ont souhaité que soit également inscrite l’étude de la dite statue et de son monument protecteur qui a mis en lumière la complexité de l’environnement naturel qui nécessite une étude géotechnique avant même la programmation de la restauration de la statue de Saint-Jean-Baptiste. Représentation, qui pour les plus curieux, a été entièrement restaurée et est à nouveau présente sur le fronton de l’église.
A Megeve, nous avons la fierte de posseder un extraordinaire patrimoine religieux qui fait echo a notre histoire. Patrimoine qui, sous le poids des années, nécessite des campagnes de restauration conséquente.
Chaque année, les élus et les services de la commune mettent, édifice après édifice, d’importantes campagnes au budget communal. En quelques années, ce sont les chapelles et les oratoires du Calvaire mais également le cadran solaire, la Croix Saint-Michel et surtout le chantier pharaonique de l’église Saint-Jean-Baptiste qui auront capté toutes les attentions.
Quant a Saint Jean-Baptiste dans le desert, une premiere et breve etape d’etayage de la statue est prevue avant cet hiver en vue du remplacement des poteaux du baldaquin au printemps ainsi que la programmation de la restauration d’art de la statue. Un chantier à venir qui vous sera sans aucun doute largement relayé au cours des prochains numéros de la Lettre de Megève, bulletin municipal trimestriel, qui met régulièrement à l’honneur le travail entrepris pour la sauvegarde de notre beau patrimoine.