25 personnes étaient présentes sur le parking du Breuil le samedi 26 octobre pour participer à la sortie « Découverte des indices et traces du Castor » animée par la LPO dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communale de Louhans-Châteaurenaud.
Au programme, une exploration des bords du Solnan pour essayer de trouver les indices de la présence de cet animal, disparu de Saône-et-Loire il y a 800 ans et qui revient petit à petit depuis les années 2000 sur les rivières du département.
A l’heure où l’on parle de renaturation et où on s’inquiète du coût de la transition écologique, le castor est un allié considérable : sa consommation d'arbres contribue à l'hétérogénéité des bords boisés des rivières (les ripisylves), ce qui favorise la biodiversité en proposant des buissons à la place des grands arbres, buissons qu'il entretient en se nourrissant et qui sont bénéfiques pour l'accueil d'oiseaux et de papillons. Par ailleurs, en bon jardinier, la manière dont il taille les rameaux des arbres entraîne le développement de leurs racines, et contribue alors au maintien des berges de nos rivières.
Alors, a-t-on trouvé des indices Oui ! Du bois flotté rongé, qui peut certes avoir dérivé lentement depuis la Saône, mais surtout des branches fraîchement rongées, qui indiquent sa présence récente, mais pas encore son installation durable. Il faudrait pour cela trouver des terriers où les familles se seraient installées.
Juste une question de temps Nous vous tiendrons informés !
Au programme, une exploration des bords du Solnan pour essayer de trouver les indices de la présence de cet animal, disparu de Saône-et-Loire il y a 800 ans et qui revient petit à petit depuis les années 2000 sur les rivières du département.
A l’heure où l’on parle de renaturation et où on s’inquiète du coût de la transition écologique, le castor est un allié considérable : sa consommation d'arbres contribue à l'hétérogénéité des bords boisés des rivières (les ripisylves), ce qui favorise la biodiversité en proposant des buissons à la place des grands arbres, buissons qu'il entretient en se nourrissant et qui sont bénéfiques pour l'accueil d'oiseaux et de papillons. Par ailleurs, en bon jardinier, la manière dont il taille les rameaux des arbres entraîne le développement de leurs racines, et contribue alors au maintien des berges de nos rivières.
Alors, a-t-on trouvé des indices Oui ! Du bois flotté rongé, qui peut certes avoir dérivé lentement depuis la Saône, mais surtout des branches fraîchement rongées, qui indiquent sa présence récente, mais pas encore son installation durable. Il faudrait pour cela trouver des terriers où les familles se seraient installées.
Juste une question de temps Nous vous tiendrons informés !