Retour en images sur la cérémonie de la commémoration du 11 novembre
Pendant la première guerre, Tours est devenue une base arrière pour l'armée états-unienne. En mémoire, deux monuments majeurs de notre ville évoquent l'implication des États-Unis dans cette guerre : le pont Wilson, ancien président des États-Unis, et la fontaine à l'est de la Bibliothèque Municipale de Tours.
Aujourd'hui, cent six ans se sont écoulés depuis l'armistice de 1918, mais la signification de cette journée reste puissante, toujours inscrite dans nos cœurs et notre mémoire collective.
Dans un contexte où l'actualité internationale fait écho à des tensions, le Maire Emmanuel Denis a rappelé que, nous, Français et Européens, devons redoubler de vigilance pour la paix, qui est un engagement permanent, nécessitant résilience et constance :
"La paix n'est pas acquise ; elle est un combat.
Comme le disait Jean Jaurès : "l'affirmation de la paix est précisément le plus grand des combats."
Ce combat se joue non seulement sur les champs de bataille mais aussi dans nos choix de société et notre manière de traiter les autres.
La paix repose sur la justice, l'égalité, et le respect de la dignité humaine, et nous devons éviter les erreurs du passé.
En 1914, des milliers de Tourangeaux ont répondu à l'appel de la nation, rejoignant les régiments qui se sont battus avec bravoure durant la Grande Guerre.
Tours, ville de garnison, a participé à l'effort de guerre avec détermination, en accueillant les blessés et les réfugiés et en soutenant les familles, mobilisant ses usines et ouvrières.
Le drapeau de la paix sur la façade de l'Hôtel de ville rappelle cet engagement.
Il est un appel à honorer la mémoire de ceux qui ont fait de Tours une cité de paix et de solidarité, malgré les sacrifices.
Ce 11 novembre est bien plus qu'une commémoration : il est un engagement pour l'avenir.
Nous devons transmettre cette mémoire de paix aux jeunes générations, leur rappeler que le monde qu'ils construiront dépend de leur capacité à défendre les idéaux de liberté, de justice et de respect des droits humains.
Au-delà des cérémonies, cette journée est l'occasion de renforcer notre vigilance collective contre les préjugés, l'intolérance et la violence.
Par le dialogue et le respect des différences, nous préservons l'héritage laissé par les générations passées.
Aujourd'hui, faisons ensemble le vœu de protéger cette paix si précieuse, de bâtir un monde où les différences sont une force et où le dialogue prime sur les divisions.
Puisse ce 11 novembre nous rappeler chaque année que la paix est notre bien commun et qu'il est de notre devoir de la préserver.
Vive la paix, vive la République, vive la France."
© Ville de Tours - F Lafite
Pendant la première guerre, Tours est devenue une base arrière pour l'armée états-unienne. En mémoire, deux monuments majeurs de notre ville évoquent l'implication des États-Unis dans cette guerre : le pont Wilson, ancien président des États-Unis, et la fontaine à l'est de la Bibliothèque Municipale de Tours.
Aujourd'hui, cent six ans se sont écoulés depuis l'armistice de 1918, mais la signification de cette journée reste puissante, toujours inscrite dans nos cœurs et notre mémoire collective.
Dans un contexte où l'actualité internationale fait écho à des tensions, le Maire Emmanuel Denis a rappelé que, nous, Français et Européens, devons redoubler de vigilance pour la paix, qui est un engagement permanent, nécessitant résilience et constance :
"La paix n'est pas acquise ; elle est un combat.
Comme le disait Jean Jaurès : "l'affirmation de la paix est précisément le plus grand des combats."
Ce combat se joue non seulement sur les champs de bataille mais aussi dans nos choix de société et notre manière de traiter les autres.
La paix repose sur la justice, l'égalité, et le respect de la dignité humaine, et nous devons éviter les erreurs du passé.
En 1914, des milliers de Tourangeaux ont répondu à l'appel de la nation, rejoignant les régiments qui se sont battus avec bravoure durant la Grande Guerre.
Tours, ville de garnison, a participé à l'effort de guerre avec détermination, en accueillant les blessés et les réfugiés et en soutenant les familles, mobilisant ses usines et ouvrières.
Le drapeau de la paix sur la façade de l'Hôtel de ville rappelle cet engagement.
Il est un appel à honorer la mémoire de ceux qui ont fait de Tours une cité de paix et de solidarité, malgré les sacrifices.
Ce 11 novembre est bien plus qu'une commémoration : il est un engagement pour l'avenir.
Nous devons transmettre cette mémoire de paix aux jeunes générations, leur rappeler que le monde qu'ils construiront dépend de leur capacité à défendre les idéaux de liberté, de justice et de respect des droits humains.
Au-delà des cérémonies, cette journée est l'occasion de renforcer notre vigilance collective contre les préjugés, l'intolérance et la violence.
Par le dialogue et le respect des différences, nous préservons l'héritage laissé par les générations passées.
Aujourd'hui, faisons ensemble le vœu de protéger cette paix si précieuse, de bâtir un monde où les différences sont une force et où le dialogue prime sur les divisions.
Puisse ce 11 novembre nous rappeler chaque année que la paix est notre bien commun et qu'il est de notre devoir de la préserver.
Vive la paix, vive la République, vive la France."
© Ville de Tours - F Lafite