*** HISTOIRE ***
Il y a 80 ans jour pour jour, le 5 septembre 1944, La Chapelle était libérée par le passage d’un convoi militaire britannique. Plus aucun Allemand n’était alors visible dans le secteur.
Après des années d’occupation, ils apportaient avec eux le vent d’espoir et de liberté attendu depuis le débarquement de Normandie du 6 juin 1944.
Le convoi anglais, venant d’Armentières et empruntant la Route Nationale puis la rue Victor Vigneron vers Houplines, traversa la commune héroïquement. La nouvelle de son passage se répandit rapidement, et de nombreux Chapellois se précipitèrent pour les voir.
Contrairement à Nieppe ou Armentières, la libération de La Chapelle-d’Armentières ne connut pas de durs combats. Quelques jours auparavant, à Armentières, une colonne de soldats allemands arrêta le Chapellois Omer Ollivier et le fusilla gratuitement et sans jugement.
Après tant d’épreuves, le moment fut d’abord à la fête. À leur arrivée au bourg, le prêtre de l’époque, l’abbé Honoré, fit sonner les cloches de l’église Saint-Vaast, et on y joua de la musique.
Un second passage d’un convoi anglais, le 6 septembre, suscita le même enthousiasme de la part de la population.
Il faudra cependant encore attendre l’armistice de mai 1945 pour que, enfin, la guerre cesse.
Il y a 80 ans jour pour jour, le 5 septembre 1944, La Chapelle était libérée par le passage d’un convoi militaire britannique. Plus aucun Allemand n’était alors visible dans le secteur.
Après des années d’occupation, ils apportaient avec eux le vent d’espoir et de liberté attendu depuis le débarquement de Normandie du 6 juin 1944.
Le convoi anglais, venant d’Armentières et empruntant la Route Nationale puis la rue Victor Vigneron vers Houplines, traversa la commune héroïquement. La nouvelle de son passage se répandit rapidement, et de nombreux Chapellois se précipitèrent pour les voir.
Contrairement à Nieppe ou Armentières, la libération de La Chapelle-d’Armentières ne connut pas de durs combats. Quelques jours auparavant, à Armentières, une colonne de soldats allemands arrêta le Chapellois Omer Ollivier et le fusilla gratuitement et sans jugement.
Après tant d’épreuves, le moment fut d’abord à la fête. À leur arrivée au bourg, le prêtre de l’époque, l’abbé Honoré, fit sonner les cloches de l’église Saint-Vaast, et on y joua de la musique.
Un second passage d’un convoi anglais, le 6 septembre, suscita le même enthousiasme de la part de la population.
Il faudra cependant encore attendre l’armistice de mai 1945 pour que, enfin, la guerre cesse.