LA FIÈVRE DU SAMEDI SOIR
Tout au long du week-end, la ville d’Étaples-sur-mer a vibré au rythme des animations musicales organisées à l’occasion de la 31ème fête du Hareng Roi. Dans la soirée du samedi 16 novembre, les amateurs de danse et de musique folklorique étaient invités à se rendre au bal folk dans le hall de la Corderie ou au concert du groupe « Chez Marcel » au chantier de construction navale.
Accueillis par les bénévoles des « Bons z’enfants », de nombreux participants s’étaient donnés rendez-vous pour applaudir et danser sur les chansons de Vincent Brusel et du groupe amiénois « Peut qu’manquer ». Armé de sa mandoline, Vincent a emmené les danseurs dans son univers qui respire l’air marin et la rudesse du travail de matelot. En seconde partie de soirée, les musiciens de « Peut qu’manquer », munis de leurs guitares, ont joué leur musique inspirée du folklore issu des quatre coins de France. Après avoir enchainé les rondes, les jigs ou les bourrées, les participants pouvaient déguster du hareng à la dijonnaise ou un fameux croque aux maroilles pour reprendre un peu d’énergie !
De l’autre côté du boulevard, le groupe « Chez Marcel » a réchauffé l’ambiance du chantier et a ravi le public avec son répertoire composé de musique irlandaise, de folk celtique et de chants marins.
Tout au long du week-end, la ville d’Étaples-sur-mer a vibré au rythme des animations musicales organisées à l’occasion de la 31ème fête du Hareng Roi. Dans la soirée du samedi 16 novembre, les amateurs de danse et de musique folklorique étaient invités à se rendre au bal folk dans le hall de la Corderie ou au concert du groupe « Chez Marcel » au chantier de construction navale.
Accueillis par les bénévoles des « Bons z’enfants », de nombreux participants s’étaient donnés rendez-vous pour applaudir et danser sur les chansons de Vincent Brusel et du groupe amiénois « Peut qu’manquer ». Armé de sa mandoline, Vincent a emmené les danseurs dans son univers qui respire l’air marin et la rudesse du travail de matelot. En seconde partie de soirée, les musiciens de « Peut qu’manquer », munis de leurs guitares, ont joué leur musique inspirée du folklore issu des quatre coins de France. Après avoir enchainé les rondes, les jigs ou les bourrées, les participants pouvaient déguster du hareng à la dijonnaise ou un fameux croque aux maroilles pour reprendre un peu d’énergie !
De l’autre côté du boulevard, le groupe « Chez Marcel » a réchauffé l’ambiance du chantier et a ravi le public avec son répertoire composé de musique irlandaise, de folk celtique et de chants marins.