Projection --
Après Femme de mineur, André, Bernard et Christian Grégorcic sont de retour à l'espace culturel Léon Delfosse avec le documentaire "Des vies au fond".
Vendredi 6 décembre, 18h30
Espace culturel Léon Delfosse à 18h30
Gratuit, réservations en mairie et en médiathèque
De quoi ça parle
12 mineurs retraités des houillères nationales se racontent.
Pourquoi à 14 ans, décident-ils de s’embaucher
Et si c’était à refaire
Rompant avec l’habituelle glorification des mineurs, ce film livre les points de vue croisés de 12 hommes, 12 compréhensions singulières de leur parcours.
Nous suivons chacun de ces hommes dans l’évocation des raisons pour lesquelles ils ont décidé de s’embaucher, pour la plupart d’entre eux sans l’accord de leurs parents.
Ils se remémorent leur première descente, l’angoisse en entrant dans la cage, leur apprentissage, la pénibilité du travail et les accidents, jusqu’au moment où ils comprennent que c’est fini, que les mines ferment.
Ce document nous parle de la fierté d’exercer un métier difficile et dangereux et de leur incompréhension devant leurs fosses qui ferment et de déterminisme social.
Après Femme de mineur, André, Bernard et Christian Grégorcic sont de retour à l'espace culturel Léon Delfosse avec le documentaire "Des vies au fond".
Vendredi 6 décembre, 18h30
Espace culturel Léon Delfosse à 18h30
Gratuit, réservations en mairie et en médiathèque
De quoi ça parle
12 mineurs retraités des houillères nationales se racontent.
Pourquoi à 14 ans, décident-ils de s’embaucher
Et si c’était à refaire
Rompant avec l’habituelle glorification des mineurs, ce film livre les points de vue croisés de 12 hommes, 12 compréhensions singulières de leur parcours.
Nous suivons chacun de ces hommes dans l’évocation des raisons pour lesquelles ils ont décidé de s’embaucher, pour la plupart d’entre eux sans l’accord de leurs parents.
Ils se remémorent leur première descente, l’angoisse en entrant dans la cage, leur apprentissage, la pénibilité du travail et les accidents, jusqu’au moment où ils comprennent que c’est fini, que les mines ferment.
Ce document nous parle de la fierté d’exercer un métier difficile et dangereux et de leur incompréhension devant leurs fosses qui ferment et de déterminisme social.