Rapport de la CRC : la déception d’une partie de l’opposition municipale ne l’autorise pas à dénoncer n’importe quoi !
Une partie de l’opposition au sein du conseil municipal se croit autorisée à dénoncer des éléments évoqués par le rapport rendu par la Chambre régionale des comptes d’Occitanie (CRC), aux termes de son contrôle du recours par la Ville de Perpignan aux cabinets privés d’expertise.
Personne ne sera dupe de cette démarche qui vise uniquement à jeter l’opprobre sur l’action de la Municipalité, quitte à remettre en cause la probité des agents de la Ville, tout comme l’intégrité de ses prestataires.
Nous condamnons avec la plus grande fermeté ces actions de dénigrement et de remise en cause gratuite.
Les errements de ce type obligent à rappeler que les observations de la CRC sont évidemment publiques. Leur diffusion ne dépend donc pas d’un élu d’opposition résolu à instrumentaliser les procédures et qui cherche à faire croire qu’il aurait découvert ce qui est en réalité public.
Surtout, les magistrats de la CRC n’ont véritablement pas besoin des élus d’opposition, pour signaler à la justice les faits qu’ils estiment pouvoir revêtir une qualification pénale.
Ce n’est évidemment pas le cas ! Et c’est, sans nul doute, ce qui dérange les apprentis accusateurs.
Contrairement à ce que l’opposition municipale dénonce depuis des années, la Ville de Perpignan a très peu recours aux services de cabinets de conseil. Ce poste représente une dépense tout à fait relative dans le budget municipal (- de 0,60 % du budget sur les cinq dernières années), et il s’agit là de la principale conclusion du rapport de la CRC.
Evidemment, toutes les prestations commandées ont permis de faciliter l’action de nos services, sécuriser les interventions de la commune et optimiser les résultats de nos politiques publiques.
Dans tous les cas de figure, le recours aux cabinets de conseil s’effectue toujours dans le respect des procédures de la commande publique que nos agents s’emploient à appliquer avec la plus grande rigueur.
Si une partie de l’opposition trouve à redire sur les observations de la CRC, c’est sans nul doute parce qu’elle est déçue du résultat positif du contrôle réalisé par la Chambre, qui valide en très grande partie les modes de gestion de la Municipalité.
Voilà pourquoi certains élus, aigris et malintentionnés, se pensent autorisés à faire dire à la CRC ce qu’elle n’a pas relevé et à se substituer à elle pour dénoncer des faits imaginaires.
Ces accusations gratuites et cette instrumentalisation sont intolérables !
C’est la raison pour laquelle la Municipalité n’hésitera pas à engager des actions en dénonciation calomnieuse, à l’encontre de toutes celles et ceux pour qui le respect du travail des agents municipaux et l’intégrité des institutions passent après l’expression de leur haine politique.
Une partie de l’opposition au sein du conseil municipal se croit autorisée à dénoncer des éléments évoqués par le rapport rendu par la Chambre régionale des comptes d’Occitanie (CRC), aux termes de son contrôle du recours par la Ville de Perpignan aux cabinets privés d’expertise.
Personne ne sera dupe de cette démarche qui vise uniquement à jeter l’opprobre sur l’action de la Municipalité, quitte à remettre en cause la probité des agents de la Ville, tout comme l’intégrité de ses prestataires.
Nous condamnons avec la plus grande fermeté ces actions de dénigrement et de remise en cause gratuite.
Les errements de ce type obligent à rappeler que les observations de la CRC sont évidemment publiques. Leur diffusion ne dépend donc pas d’un élu d’opposition résolu à instrumentaliser les procédures et qui cherche à faire croire qu’il aurait découvert ce qui est en réalité public.
Surtout, les magistrats de la CRC n’ont véritablement pas besoin des élus d’opposition, pour signaler à la justice les faits qu’ils estiment pouvoir revêtir une qualification pénale.
Ce n’est évidemment pas le cas ! Et c’est, sans nul doute, ce qui dérange les apprentis accusateurs.
Contrairement à ce que l’opposition municipale dénonce depuis des années, la Ville de Perpignan a très peu recours aux services de cabinets de conseil. Ce poste représente une dépense tout à fait relative dans le budget municipal (- de 0,60 % du budget sur les cinq dernières années), et il s’agit là de la principale conclusion du rapport de la CRC.
Evidemment, toutes les prestations commandées ont permis de faciliter l’action de nos services, sécuriser les interventions de la commune et optimiser les résultats de nos politiques publiques.
Dans tous les cas de figure, le recours aux cabinets de conseil s’effectue toujours dans le respect des procédures de la commande publique que nos agents s’emploient à appliquer avec la plus grande rigueur.
Si une partie de l’opposition trouve à redire sur les observations de la CRC, c’est sans nul doute parce qu’elle est déçue du résultat positif du contrôle réalisé par la Chambre, qui valide en très grande partie les modes de gestion de la Municipalité.
Voilà pourquoi certains élus, aigris et malintentionnés, se pensent autorisés à faire dire à la CRC ce qu’elle n’a pas relevé et à se substituer à elle pour dénoncer des faits imaginaires.
Ces accusations gratuites et cette instrumentalisation sont intolérables !
C’est la raison pour laquelle la Municipalité n’hésitera pas à engager des actions en dénonciation calomnieuse, à l’encontre de toutes celles et ceux pour qui le respect du travail des agents municipaux et l’intégrité des institutions passent après l’expression de leur haine politique.