[ ÉCOLE & DEVOIR DE MÉMOIRE ]
A l'initiative de Frédéric Petitjean, Médecin Chef des Pompiers 04, et avec l'approbation de la communauté éducative et du Conseil municipal, l'école des Ferréols a été renommée école Christine Granville.
Christine Granville, née Krystina Skarbek à Varsovie en 1908, a participé activement à des missions de sabotage, d’information et de désinformation pour le gouvernement britannique durant la seconde guerre mondiale.
Dans nos Basses-Alpes d’alors, sa « base » était Seyne où elle était accueillie par la famille Turrel. Mi-août 1944 à Digne, elle réussit à sortir Francis Cammaerts d’une arrestation par la Gestapo, grâce à des négociations secrètes avec un Allemand dans un contexte très proche de la Libération.
"En donnant cette année-anniversaire de la Libération son nom à l’école des Ferréols, nous honorons sa mémoire et saluons ses qualités d’engagement et de courage. Des qualités partagées durant ces années troubles et dangereuses avec ceux dont les noms ont été donnés en 1986 et 2010 aux abords de cette école : la place René Sgaravizzi, jeune résistant tué tout près d’ici lors des combats de la Libération de notre ville le 19 août 1944, il avait seulement 18 ans ; et la place Francis Cammaerts, agent britannique du SOE, dont Christine Granville était l’assistante" a précisé Patricia Granet-Brunello, Maire de #Digne-les-Bains, lors de son intervention.
Au cours de cette cérémonie, les élèves de primaire ont lu une lettre à Christine Granville imaginée avec leur professeur et les plus petits ont interprété le Chant des Partisans qui a ému parents, enseignants et personnalités présentes.
A l'initiative de Frédéric Petitjean, Médecin Chef des Pompiers 04, et avec l'approbation de la communauté éducative et du Conseil municipal, l'école des Ferréols a été renommée école Christine Granville.
Christine Granville, née Krystina Skarbek à Varsovie en 1908, a participé activement à des missions de sabotage, d’information et de désinformation pour le gouvernement britannique durant la seconde guerre mondiale.
Dans nos Basses-Alpes d’alors, sa « base » était Seyne où elle était accueillie par la famille Turrel. Mi-août 1944 à Digne, elle réussit à sortir Francis Cammaerts d’une arrestation par la Gestapo, grâce à des négociations secrètes avec un Allemand dans un contexte très proche de la Libération.
"En donnant cette année-anniversaire de la Libération son nom à l’école des Ferréols, nous honorons sa mémoire et saluons ses qualités d’engagement et de courage. Des qualités partagées durant ces années troubles et dangereuses avec ceux dont les noms ont été donnés en 1986 et 2010 aux abords de cette école : la place René Sgaravizzi, jeune résistant tué tout près d’ici lors des combats de la Libération de notre ville le 19 août 1944, il avait seulement 18 ans ; et la place Francis Cammaerts, agent britannique du SOE, dont Christine Granville était l’assistante" a précisé Patricia Granet-Brunello, Maire de #Digne-les-Bains, lors de son intervention.
Au cours de cette cérémonie, les élèves de primaire ont lu une lettre à Christine Granville imaginée avec leur professeur et les plus petits ont interprété le Chant des Partisans qui a ému parents, enseignants et personnalités présentes.